Pourquoi le mouvement sioniste a besoin de l’antisémitisme


Pour en finir avec l’antisémitisme il faut comprendre qui en a besoin et quel est son utilité. 
Un texte long mais qui peut permettre de réconcilier toutes les communautés, comprendre que l’antisémitisme est fabriqué par ceux la même qui ont créé le mouvement sioniste et que tous les antisémites et les personnes qui commettent des actes antisémites sont au final les meilleurs amis des sionistes, enfin de ceux qui ont créé ce mouvement…

Pourquoi le mouvement sioniste a besoin de l’antisémitisme
Manifestation du Betar en Allemagne nazie, en 1934                                                                                                                                                                                                                                                            Dans la vidéo, il y a aussi un interview du dirigeant du mouvement sioniste Betar, il est important de savoir que ce mouvement était proche du mouvement nazi, a soutenu Hitler et a été protégé par le dictateur.

Quand Hitler est arrivé au pouvoir, il avait fait fermer toutes les organisations de jeunesse sauf le Betar, organisation de jeunesse juive sioniste qui le soutenait.

Cela aussi, une grande partie des betaris d’aujourd’hui l’ignorent, Emmanuel Ratier l’auteur d’un livre à ce propos a raconté comment des jeunes betaris ont été choqués lorsqu’il leur a apprit cela et comment ils ont ensuite quitter ce mouvement.

J’imagine que même l’israélien à la tête du Betar, interrogé dans cette vidéo, n’est pas au courant….
Voir le livre de Ratier  : Les guerriers d’Israël : Enquête sur les milices sionistes 

 L’invention du peuple juif

Une fois le mouvement sioniste créé, Blackstone et Herzl vont artificiellement fabriquer l’idée selon laquelle tous les juifs du monde seraient des descendants des juifs antiques de Palestine :

« C’est à cette période que l’on créa le mythe du peuple juif. Jusque-là, les juifs se considéraient comme appartenant à une religion et admettaient que leurs membres européens n’étaient pas des descendants des juifs de Palestine, mais de populations converties au cours de l’Histoire »
Shlomo Sand – Comment le peuple juif fut inventé.pdf

 « On ne peut bâtir une politique pour tout un peuple – surtout un peuple disséminé sur l’ensemble du globe – que sur des impondérables.       
Savez-vous avec quoi s’est construit l’Empire allemand ?       
Avec des rêves, des chants, des fantasmes et des rubans noirs, rouges et or. Bismarck n’a fait que secouer l’arbre planté par des rêveurs…       
Seul ce qui relève du fantasme émeut véritablement les gens… 
 Celui qui ne comprend pas cela ne mènera jamais les homme et ne laissera aucune trace dans l’Histoire. » 
Theodor Herzl

Avant la création du mouvement sioniste, les historiens occidentaux soutiennent la version Khazare de l’origine des juifs d’Europe.

Les juifs eux mêmes, à cette époque (1897), sont conscient qu’ils ne sont pas les descendants direct du peuple d’Abraham.

Mais les sionistes avec de très importants moyens financier vont réécrire l’histoire des juifs d’Europe.

L’Hypothèse rhéhane VS l’hypothèse Khazare

Encore aujourd’hui, un historien qui espère enseigner, vendre des livres ou grimper les échelons doit suivre la ligne tracée par le mouvement sioniste, l’ »histoire officielle », la version rhéhane.

Si il s’en écarte, comme l’historien israélien Shlomo Sand, tout le monde va lui tomber dessus !

Et si il n’est pas israélien, comme Shlomo Sand, alors il sera tout de suite accusé d’antisémitisme et perdra son travail…

C’est pour cela que la plupart des gens n’ont jamais entendu parlé de l’origine Khazars des juifs d’Europe.

L’hypothèse dite «rhénane»

Selon l’hypothèse dite «rhénane», les Ashkénazes descendent des juifs qui ont fui la Palestine après la conquête musulmane en 638 après J.C.

Toujours selon cette hypothèse, ils se sont installés dans le sud de l’Europe, puis, à la fin du Moyen-Age, environ 50 000 d’entre eux se sont déplacés de la Rhénanie, en Allemagne, vers l’Europe de l’Est.

Certains estiment cependant cette hypothèse invraisemblable, car le scénario est impossible en termes démographiques.

Cela supposerait un bond de la population des juifs d’Europe orientale de 50 000 individus au 15e siècle à environ huit millions au début du 20e siècle.

Le taux de natalité aurait été ainsi 10 fois supérieur à celui de la population locale non-juive. 

Et cela malgré les difficultés économiques, les maladies, les guerres et les pogroms qui ont ravagé les communautés juives et ont incité la plupart à partir dans les pays musulmans où ils étaient bien accueillis et en sécurité.

L’hypothèse Khazars

L’hypothèse Khazars est beaucoup plus réaliste.

Selon cette théorie, les juifs d’Europe orientale descendent des Khazares, des tribus constituées de nord asiatiques, caucasiens, turcs, qui se sont installés dans le Caucase dans les premiers siècles de notre ère, ont fondé un royaume puissant et se sont convertis au judaïsme pour ne pas avoir à s’abaisser devant les chefs religieux chrétiens ou musulmans.

Les juifs khazares ont construit un empire florissant, attirant des juifs de Mésopotamie et de l’Empire byzantin.

Mais l’empire khazare s’est effondré au 13e siècle, attaqué par les Mongols et affaibli par des épidémies de peste noire.

Les juifs khazares ont alors fui vers l’ouest, s’installant dans le royaume polonais et en Hongrie, où leurs compétences en finances, en économie et en politique étaient très appréciées.

Ils se sont finalement répandus en Europe centrale et occidentale.

Il y a quelques années de cela, sur la fiche Wikipedia d’Éric Zemmour, on pouvait lire l’extrait d’un interview où le polémiste reconnaissait ses origines de « turco-khazare » converti au judaïsme.

Quand l’ancien ministre Luc Ferry parle de l’invention du peuple juif

Dans cette vidéo Luc Ferry cite le livre de l’historien israëlien Shlomo Sand, qui a été un best seller en Israël et qui a été diabolisé par le mouvement sioniste en France.

Ils ont attaqué l’homme, l’ont traité de juif antisémite, de traître, l’ont traîné dans la boue, mais si vous lisez son livre, vous verrez qu’une grande partie est composée des principaux textes historiques qui existent sur le sujet, des preuves irréfutables qui mettent à mal les théories modernes qui ont permis « l’invention du peuple juif ».

Un bon résumé du livre sur Le monde Diplomatique : Comment fut inventé le peuple juif

Le livre complet : Shlomo Sand – Comment le peuple juif fut inventé.pdf
Vous y apprendrez aussi que les juifs séfarades viennent de tribus berbères converties au judaïsme.

Voir aussi le livre d’Arthur Koestler (1905-1983), un écrivain juif qui comme des historiens comme Marc Bloch en était arrivé aux mêmes conclusions sur l’origine Khazare des juifs d’Europe, longtemps après la réécriture de l’histoire par les sionistes.

Pdf gratuit : La Treizième Tribu.pdf

Pour certains il se serait suicidé avec sa femme en 1983 en absorbant du poison, pour d’autres ils auraient été empoisonné par les sionistes à cause de ce livre….

La génétique éclaire le débat sur l’origine Khazare des Juifs d’Europe

Après ses recherches le généticien Eran Elhaik confirme la version Khazare :

Parmi les juifs d’Europe, le généticien a trouvé des signatures ancestrales qui pointaient clairement vers le Caucase et aussi, mais dans une moindre mesure, vers le Moyen-Orient.  

Ces résultats, a déclaré Eran Elhaik, viennent appuyer la théorie rivale de l’hypothèse rhénane, connue sous le nom d’«hypothèse Khazare».
Source :  lapresse.ca

Ce qu’il faut que vous sachiez aussi à ce propos, c’est qu’Hitler, une fois arrivé au pouvoir, s’en prendra aux historiens qui avaient refusé les cadeaux ou pressions des sionistes et continuaient à défendre la version Khazare.

Et ce n’était pas un hasard !

En cela, il fini le travail de réécriture de l’histoire commencé par les sionistes.

Rappelons que cet homme, financé par les puissantes familles US et qui aurait des origines juives (voir : Hitler juif ? Les faits historiques acceptés face aux théories) a soutenu le mouvement sioniste économiquement et en envoyant de nombreux juifs allemand volontaires en Palestine (explication ci-dessous : contrat de transfert).

L’origine juive des palestiniens

Ce qui est intéressant aussi, quand on ouvre les yeux sur les véritables origines des juifs d’Europe, c’est de découvrir que les historiens d’avant le sionisme, mais aussi certains d’après (beaucoup moins à cause des pressions du mouvement sioniste), reconnaissaient que les palestiniens étaient dans leur majorités, les descendants de ce « peuple juif » comme le premier dirigeant d’Israël : Ben Gourion.

« les Romains n’ont jamais exilé de peuple sur tout le flanc oriental de la Méditerranée. A l’exception des prisonniers réduits en esclavage, les habitants de Judée continuèrent de vivre sur leurs terres, même après la destruction du second temple.

Une partie d’entre eux se convertit au christianisme au IVe siècle, tandis que la grande majorité se rallia à l’islam lors de la conquête arabe au VIIe siècle.

La plupart des penseurs sionistes n’en ignoraient rien : ainsi, Yitzhak Ben Zvi, futur président de l’Etat d’Israël, tout comme David Ben Gourion, fondateur de l’Etat, l’ont-ils écrit jusqu’en 1929, année de la grande révolte palestinienne.

Tous deux mentionnent à plusieurs reprises le fait que les paysans de Palestine sont les descendants des habitants de l’antique Judée (2). »
Source : Le Monde Diplomatique

Mais Shlomo Sand en parle plus longuement dans son livre :
Shlomo Sand – Comment le peuple juif fut inventé.pdf

L’origine des premiers juifs

Le philosophe Marc Alain Ouaknin, fils du Grand-Rabbin Jacques Ouaknin, reconnaît comme de nombreux historiens que l’écriture hébraïque provient des hiéroglyphe égyptien (dans son livre « Mystère de la Kabbale » p 296).

Sur Wikipédia : « L’écriture égyptienne n’est plus utilisée actuellement pour écrire quelque langue moderne que ce soit.

Cependant, selon certains chercheurs, c’est elle qui, via le proto-sinaïtique, aurait donné naissance à l’alphabet phénicien, lequel, à son tour, sera à l’origine des alphabets hébreu, araméen et grec, donc des caractères latins et cyrilliques ».

Roger Sabbah, égyptologue, archéologue et chercheur a fait des découvertes incroyables avec son frère :

« Dans le tombeau de Toutankhamon, ouvert en 1923, figuraient des inscriptions rédigées en hiéroglyphes insolites, certaines lettres ressemblant à s’y méprendre – forme, prononciation, valeur symbolique – à l’alphabet hébreu. »

Déjà, à l’époque de l’occupation napoléonienne de l’Égypte,Jean-François Champollion, l’homme qui a réussi à traduire les hiéroglyphe, suggéra l’existence d’un lien étroit entre l’Ancien testament et la période égyptienne de El amarna et son pharaon monothéiste.

Le rôle des sionistes dans les assassinats qui ont suivi la découverte du tombeau de Toutankhamon

Est-ce qu’il y a une histoire secrète des religions connue des templier, de Napoléon après sa campagne d’Égypte ou de Champollion ?

Dur de savoir, en tout cas il semble que les sionistes s’inquiétaient de ce qui pouvaient être découvert dans la tombe de Toutankhamon.

Howard Carter, l’homme qui était persuadé que la tombe de Toutankhamon était encore à découvrir alors que la plupart des égyptologues n’y croyaient pas, a été officiellement financé par Lord Carnarvon.

Mais en fait on sait maintenant que Lord Carnarvon était ruiné et que c’était la famille Rothschild qui se servait de lui pour agir dans l’ombre.

Et on comprend pourquoi car après l’incroyable découverte en 1922, un scandale a éclaté sur la disparition de papyrus qui auraient pu, selon les dires de l’époque, mettre en péril la création d’un état juif en Palestine !

Un secret à cacher

L’écrivain américain Arnold C. Brackman, dans son livre « The search for the gold of Toutankhamon » (1976), se disait convaincu qu’à l’époque de l’ouverture de la tombe la seule découverte archéologique qui aurait pu constituer un « grave scandale politique et religieux » étaient les documents historiques remontant à l’époque de Toutankhamon.

Brackman suggérait que grâce à eux il aurait été possible de démontrer de manière irréfutable l’étroite relation entre le premier pharaon monothéiste de l’histoire, « l’hérétique » Akhenaton(aujourd’hui attesté comme père de Toutankhamon) et Moïse, le législateur israélite qui selon la tradition de l’Ancien testament « conduisit le peuple d’Israël hors d’Égypte ».

Pour confirmer cette hypothèse nous trouvons un important témoignage de Lee Keedick, que l’écrivain Thomas Hoving a reporté textuellement dans son volume de 1978, « Tutankhamon – the untold story ».

keedick a raconté avoir assisté à une discussion animée entre H. Carter et un haut fonctionnaire anglais, survenue en 1924 à l’ambassade britannique du Caire.

Durant la lutte houleuse Carter menaça de révéler publiquement  » le bouillant contenu des documents qu’il avait trouver dans la tombe », documents qui – selon ce que Carter lui-même affirmait – « racontaient le véritable et scandaleux compte-rendu de l’exode des Hébreux de l’Egypte ».

Et après cette affaire, ce secret, une série de mort étrange suivra, tous ceux qui en savaient trop et qui peut-être voulaient divulguer le secret sont morts mystérieusement.

Et tout aussi mystérieusement il n’y aura pas d’enquête sérieuse, ni de la police, ni des journalistes qui se contenteront juste d’amuser le public avec des histoires de mauvais sort dû à « la malédiction de Toutankhamon ».

Malgré les preuves d’empoisonnements, les morts dites étranges, les suicides tout aussi bizarre, aucunes enquête sérieuse ne sera mené, pour vous dire le pouvoir de ces gens…

Voir :  Le secret de Toutankhamon qui aurait pu détruire le sionisme

La création de l’antisémitisme

Avant, on parlait de juif allemand ou juif français, mais en 1880, Wilhelm Marr introduit le terme « antisémitisme » dans le discours politique de la société de son temps
Wikipedia : Wilhelm_Marr

Cette utilisation du terme « sémite » pour designer les juifs européen renvoie à la notion de race, mais les Juifs ne constituent pas une race.

Le terme a été inventé en 1781 par l’orientaliste allemand August Ludwig Schlözer, à partir du nom d’un des fils de Noé, Sem, pour désigner des langues dont la parenté avait été établie dès le Moyen-Âge par les savants juifs : l’hébreu, l’araméen, l’arabe.

Les spécialistes ont ensuite regroupés sous l’appellation de « sémite » tout un ensemble de peuples qui, dans le courant du IIIe millénaire avant Jésus-Christ, émigrèrent de la péninsule Arabique vers la Mésopotamie, la Syrie, la Palestine, puis, vers 700 avant Jésus-Christ, vers la corne de l’Afrique.

Donc le terme « sémite » ne désigne pas un peuple, mais plusieurs, et majoritairement des arabes.

Cette manipulation est à l’époque critiqué par de nombreux historiens qui défendent  l’origine Khazars des juifs d’Europe, mais ce terme incorrect, créé par un raciste judéophobe sera très utile au mouvement sioniste.

Ils permets aux judéophobes de ne plus considérer les juifs comme des européens, mais comme des étranger, des sémites qui n’ont rien à faire chez eux et donc, qui devraient être renvoyé là d’où il viennent, la Palestine, ce qui arrange bien les sionistes !

D’ailleurs, Wilhelm Marr un étrange judéophobe qui aura eu deux femmes juives, plaidera pour une expulsion de tous les juifs vers la Palestine (comme c’est bizarre !) et finira à la fin de sa vie par regretter ses actions et demandera pardon aux juifs.

Enfin, il aura été très utile au mouvement sioniste qui encouragera l’usage incorrecte du terme « sémite » pour désigner les juifs d’Europe comme des étranger originaire de Palestine.

Et c’est grâce aussi à ce terme raciste « Sémite », mis à la mode par les judéophobes et les sionistes, que les nazis pourront élaborer leur thèses « antisémites »qui conduiront à la Shoah
 
« J’ai eu une idée formidable : attirer des antisémites honnêtes et les inciter à détruire les propriétés juives. »
Theodor Herzl

Le soutien des américains à Hitler

Les puissantes familles qui ont créé le Sionisme vont apporter un important soutien à Hitler.

Dans cette vidéo, Jacques Pauwels, historien et chercheur à l’université de Toronto, raconte comment, les puissantes familles américaines ont soutenu Hitler.

Il raconte comment Hitler a pu relancer l’industrie et déclencher la 2eme guerre mondiale grâce à l’aide des américains.

Il faut bien comprendre que sans le soutient de ceux qui sont très sûrement les « puissances supérieures » dont parle la fiche des RG français, Hitler n’aurait pu rien faire !

La relance de l’industrie, le travail à la chaîne (Ford), l’huile de moteur, l’essence, les moteurs américains, la technologie (radio télécommunication, ITT, IBM…) tout cela a été fournit par les entreprises américaines aux nazis, sans eux, pas de guerre !

Pauwels pense qu’ils ont juste agi par intérêts financier et politique, pour ma part, je pense que cela va beaucoup plus loin, qu’ils ont créé Hitler, que sans leurs argents et leurs soutient stratégiques dès le départ, Hitler n’aurait pas pu payer les milices d’extrêmes droites et s’attirer les faveurs de nombreux autres politiciens, pour finalement arriver au pouvoir :

« C’est à travers le cercle de connaissances de Smith que Hitler est entré en contact avec « Putzi » (Ernst Franz Sedgwick Hanfstaengl), un diplômé de l’Université de Harvard qui a joué un rôle important pour faire de Hitler un politicien à succès, lui donnant un soutien financier substantiel et des liens entre les personnalités britanniques de haut rang.

Hitler se préparait pour la grande politique, mais tant que la prospérité régnait en Allemagne, son parti restait à la périphérie de la vie publique.

Cette situation changera radicalement avec le début de la crise. Après l’effondrement du marché boursier provoqué par la Réserve fédérale américaine à l’automne 1929, la troisième phase de la stratégie anglo-américaine commença.

(Il faut rappeler ici que la Réserve Fédérale a été créé par les mêmes grandes familles US qui ont créé le mouvement sioniste puis soutenu Hitler.
Voir la description officielle : Réserve fédérale wikipedia
Et une plus réaliste :
Comment la Réserve fédérale a détruit la démocratie américaine…)

La Fed et J. P. Morgan décident de cesser leurs prêts à l’Allemagne, provoquant une crise bancaire et une dépression économique en Europe centrale.

En septembre 1931, l’Angleterre abandonne l’étalon-or, détruisant délibérément le système de paiement international et coupant complètement l’oxygène financier de la République de Weimar.

Mais le parti nazi connaît un essor miraculeux: en septembre 1930, grâce aux dons généreux de Thyssen, I. G. Farben, et Kirdorf, le parti recueille 6,4 millions de voix, ce qui le place en deuxième position au Reichstag.

Peu après, une généreuse injection de fonds de l’étranger apparaît. Hjalmar Schacht était devenu le lien clé entre les grands industriels allemands et les financiers étrangers. Le 4 janvier 1932, lors d’une réunion entre Adolf Hitler, le chancelier allemand Franz von Papen et Montague Norman, un accord secret est conclu pour assurer le financement du parti nazi.

Le politicien américain Dulles était également présent à cette réunion, ce que ses biographes n’aiment pas mentionner. Le 14 janvier 1933, Hitler tient une réunion avec Kurt von Schroeder, un banquier sympathisant nazi, von Papen et Kepler, au cours de laquelle le programme d’Hitler est entièrement approuvé.

C’est là que fut tracée la voie finale de la montée au pouvoir des nazis, et le 30 janvier, Hitler devint chancelier. Ensuite a commencé la quatrième étape de la stratégie.[ ]

« En août 1934, le géant pétrolier américain Standard Oil acheta 730 000 acres de terrain en Allemagne (environ 300 000 ha) et construisit de grandes raffineries de pétrole qui approvisionnaient les Nazis en pétrole.

En même temps, les Etats-Unis fournissaient secrètement à l’Allemagne les équipements les plus modernes pour les usines d’avions, qui allaient bientôt produire des avions allemands.

L’Allemagne reçut un grand nombre de brevets des firmes américaines Pratt and Whitney, Douglas et Bendix Corporation, et le bombardier en piqué « Junker-87″ fut construit en utilisant une technologie purement américaine.

En 1941, au moment où la Seconde Guerre Mondiale était en plein essor, les investissements américains dans l’économie allemande totalisaient 475 millions de dollars, 120 millions de dollars rien que pour Standard Oil, 35 millions pour General Motors, 30 millions pour ITT et 17,5 millions pour Ford. »

Source

 Henri Ford l’inspirateur du nazisme ?

En 1903, au États-Unis, alors que Henri Ford est sur le point de faire faillite, il reçoit l’aide d’une mystérieuse banque germano-américaines et les usines Ford peuvent enfin se développer.

En 1920 des usines seront ouvertes en Allemagne et un journal anti-juif sera édité en allemand avec des articles signés Henri Ford.

Il y aura aussi la parution d’un livre :  »The International Jew », qui aura une grande influence sur Hitler et l’idéologie nazi.

le-juif-international

» A travers son journal le Dearborn Independent, Henry Ford publie de nombreux articles qui seront rassemblés dans son livre intitulé The International Jew, « le juif international ».

Dans cet ouvrage Henry Ford présente les juifs comme un « germe » qui doit faire l’objet d’un « nettoyage ». Adolf Hitler et ses collaborateurs reprendront cette terminologie pour justifier leurs crimes.

Le Juif n’est plus défini par sa religion mais par sa « race », « une race dont la persistance a vaincu tous les efforts faits en vue de son extermination ». »
source : henryford.fr

Ford sera remercié pour toutes l’aide apporté au nazi, aide autant idéologique, financière, matérielle que militaire, il reçut en 1938 la « Grand-Croix de l’ordre de l’Aigle allemand », plus haute décoration nazie pour les étrangers.

Henry Ford reçoit la Grand-Croix de l’Aigle allemand.
Le 30 juillet 1938, Henry Ford reçoit la plus haute décoration nazie pour un étranger : la Grand-Croix de l’Aigle allemand.

Au procès de Nuremberg de nombreux nazis avouerons être devenu « antisémite » , en lisant le journal de Ford.

« Hitler n’a pas été le seul des dirigeants nazis à éprouver l’influence du livre de Henri Ford. Baldur von Schirach, leader de la Hitlerjugend et, plus tard, gauleiter de Vienne, déclara, lors du procès de Nuremberg :

« Le livre antisémite décisif que j’ai lu à cette époque, et le livre qui a influencé mes camarades, est celui de Henry Ford, The International Jew. Je l’ai lu et je suis devenu antisémite. »

Joseph Goebbels et Alfred Rosenberg figurent également parmi les dirigeants ayant mentionné cet ouvrage au nombre des référence importantes de l’idéologie du Parti national-socialiste allemand (NSDAP). »

Voir cet article du Monde Diplo :
Henry Ford, inspirateur d’Adolf Hitler

Prescot Bush, le père de George Bush et grand père du GB junior , a été un des financier d’Hitler au côté de Fritz Thyssen.

»Prescott Bush, ami personnel de nombreux dirigeants du IIIème Reich, multiplia les joint-ventures avec les autorités nazies durant la période 1933-1941.

Il continua à « faire des affaires » avec le régime nazi pendant la Seconde Guerre mondiale.

Tout commerce avec l’Allemagne ayant été interdit et ses sociétés ayant été placées sous séquestre par le gouvernement Roosevelt après l’entrée en guerre des États-Unis, il créa une constellation d’entreprises internationales pour contourner la législation.

Il installa aux Pays-Bas des sociétés de blanchiment de l’argent du crime, dont la Consolidated Silesian Steel Company, propriétaire de l’usine d’Oswiecim-Auschwitz. »
Les Bush et Auschwitz, une longue histoire

»L’argent engrangé grâce à la collaboration avec les nazis permit aux Bush d’asseoir leur position politique. Prescott devint sénateur et deux de ses héritiers montèrent à la Maison Blanche sans faire beaucoup réagir les bonnes âmes juives et américaines du pays. »
Un Bush complice d’Hitler

Les Rockefeller et d’autres grandes familles américaines, toujours lié à la famille Rothschild dans les affaires, ont aussi aidés Hitler.

« une grande partie des sociétés US ont carrément collaboré avec Hitler, et pas seulement au début de la guerre : Du Pont, Union Carbide, Westinghouse, General Electric, Goodrich, Singer, Kodak, ITT, JP Morgan…

Pire. La grande nouveauté stratégique d’Hitler, ce fut la « Blitzkrieg », la guerre-éclair : porter très vite ses troupes au coeur de l’adversaire.

Pour cela, deux conditions indispensables : des camions et de l’essence.

L’Allemagne n’ayant aucun des deux, c’est Esso qui a fourni l’essence, tandis que les camions provenaient des usines allemandes de Ford et General Motors. »
6 juin 44 : ce qu’on ne vous dira pas

Pactes avec le diable   » l’Amérique et le 3eme Reich «

Un documentaire à voir absolument et même à enregistrer sur son ordinateur car il est souvent effacé 

 Un film de Fabrizio Calvi et Steeve Baumann . Vidéo produite par point du jour avec la participation de Canal plus , Lundi Investigation et Planète .

Sur le rôle des grandes banques américaines comme Chase et JP Morgan, qui ont financé les nazis.

Ce film ne parle que d’une infime partie de cette collaboration, de ce soutien, car les personnes filmées n’ont eu accès qu’à une petite partie des documents compromettant avant leur destruction lors de la fusion entre les 2 banques, Chase et JP Morgan.

Dans ce documentaire ils interrogent à un moment, des juifs survivants qui étaient cachés dans une propriété des Rothschild en France quand ils étaient enfants, et qui se demandent pourquoi les USA n’acceptaient que très peu de réfugiés juifs alors qu’ils étaient en danger en Europe.

La réponse n’est pas dite, mais est connue, c’est le mouvement sioniste US (dont la famille Rothschild a le contrôle) qui avait imposé ce quota, car ils ne voulaient pas que les juifs s’installent ailleurs, ils devaient soit périr dans les camps, soit être envoyé en Palestine.

C’est pour cela aussi que les sionistes ont empêché la mise en place du plan de sauvetage des juifs, plans organisés par les pays libres pour accueillir les réfugiés juifs, qui aurait pu sauver des millions d’innocents mais qui mettait en péril le projet sioniste (voir plus bas).

L’aide d’Hitler au sioniste

Si vous n’avez jamais entendu parler du contrat de transfert, vous devez regarder cette vidéo, issu d’un reportage sur le livre d’Edwin Black, un juif américain dont les parents sont des rescapés des camps de la mort et qui parle de la collaboration du mouvement sioniste avec le mouvement nazi :

Attention, contentez-vous de regarder le reportage de chanel 5 news qui date de 1984, la vidéo a été traduite en français par je ne sais qui, qui a rajouté à la fin un montage débile qui n’a rien à voir avec ce grave sujet !

Youtube bloque souvent la vidéo, si celle ci disparaît, vous pourrez la voir sur Rutube : https://rutube.ru/video/e1cb962da13ca709a4f25071c97969d1/ L’accord Haavara (en hébreu הסכם העברה, Heskem Haavara, littéralement « accord de transfert ») est un accord signé le 25 août 1933 après trois mois de négociations entre la Fédération sioniste d’Allemagne, la Banque anglo-palestinienne (sous les ordres de l’Agence juive, une agence exécutive officielle en terre palestinienne) et les autorités économiques du régime de l’Allemagne nazie. L’accord a été conçu pour faciliter l’émigration des Juifs allemands vers la Palestine. Avant les camps de la mort, Hitler fera construire des camps de formation à la vie dans les kibboutz en Allemagne pour les juifs sionistes. Ce documentaire parle aussi de l’amitié entre les nazis et les sionistes, il y aura même des visites d’officiers SS dans les kibboutz de Palestine à l’invitation des sionistes ! C’est pour cela que quand les premières informations sur l’extermination des juifs d’Europe par Hitler sont arrivées en Palestine, les colons avaient du mal à croire que leur plus grand allié, Hitler, puisse faire cela et les dirigeants sionistes à l’époque ont fait passer ces informations pour des mensonges… Voir aussi à ce sujet : The Flat: Une famille scrute le passé d’une amitié nazie-sioniste Comment les sionistes ont empêché le plan de sauvetage des juifs Comme expliqué plus haut, pour créer un état juif en Palestine il fallait y mettre des juifs, mais la majorité des juifs d’Europe ne voulaient pas y aller. Puis Hitler est arrivé comme par miracle (pour les sionistes) et lors du contrat de transfert a permis aux volontaires d’y aller. Sa répression sur les autres a fait que de nombreux juifs voulaient quitter le pays. Mais l’Angleterre qui contrôlait la Palestine a du stopper l’immigration des juifs allemand envoyé par Hitler : « Grande révolte arabe de 1936-1939 en Palestine mandataire Bien que vaincus militairement, les Arabes palestiniens obtiennent des concessions politiques. Le Livre blanc britannique de 1939 impose ainsi une limitation de l’immigration juive et du transfert de terres arabes à des Juifs, et promet la création d’un État unitaire dans les dix ans, dans lequel Juifs et Arabes partageront un gouvernement qui permettrait de préserver les intérêts de chaque communauté. » Source : wikipedia.org Les sionistes ont fait du forcing, allant même jusqu’à massacrer tout un bateau de juifs allemands : « Le 25 novembre 1940, un bateau transportant des réfugiés juifs de l’Europe nazie, the « Patria, » a explosé et coulé au large des côtes de la Palestine, tuant 252 personnes. Le « Haganah » (organisation paramilitaire sioniste) a affirmé que les passagers ont fait sauter eux même le navire, se sacrifiant (avec des femmes et des enfants) pour protester contre le refus britannique de les laisser débarquer. Des années plus tard, la Haganah a admis qu’au lieu de laisser les passagers se rendre à l’île Maurice, l’armée sioniste a fait exploser le navire pour sa valeur propagandiste. « Parfois, il est nécessaire de sacrifier le petit nombre pour sauver le plus grand nombre« , a déclaré Moshe Sharett, ancien Premier ministre israélien » Source : wikipedia.org et numidia-liberum.blogspot.com Donc, les juifs ne pouvaient plus être envoyer en Palestine et si ils avaient été envoyé ailleurs, cela aurait mis fin au projet sioniste, c’est pour cela que les sionistes se sont organisé pour limiter l’immigration des juifs dans les autres pays et qu’ils ont saboté le plan de sauvetage des juifs, mis en place par les pays libres : « En octobre 1942, Ben Gourion définit les trois tâches fondamentales du sionisme: la lutte contre les entraves à l’immigration des Juifs (en Palestine), la constitution de forces armées juives et la création d’un Etat juif en Palestine, une fois la guerre terminée. Sur le sauvetage des Juifs (en cours d’extermination): pas un mot.” Mais le mouvement sioniste ne se contenta pas d’être totalement indifférent à la (nécessité) de sauver les Juifs (menacés d’extermination): Il s’ingénia à faire échouer tous les plans de sauvetage (mis sur pied dans le cadre) de la Conférence d’Evian. Beit-Tsvi consacre un chapitre entier de son livre à ce sabotage, et il démontre l’influence absolument illimitée des sionistes sur la grande presse ainsi que leur capacité à se rendre maîtres des opinions. La conférence d’Evian avait été convoquée en mars 1938 à l’initiative du président américain Roosevelt, afin d’aider les Juifs à quitter l’Allemagne, qui venait d’annexer l’Autriche. Au début, le monde juif manifesta un grand enthousiasme pour cette initiative et il baptisa même cette conférence “Conférence de la conscience mondiale”. Le mouvement sioniste nourrissait l’espoir que la conférence accorderait la Palestine au peuplement juif, et qu’y serait prise une résolution enjoignant à la Grande-Bretagne – puissance mandataire en Palestine – d’y accueillir les réfugiés juifs. Mais tel ne fut pas le cas. La conférence d’Evian se consacra à l’élaboration de plans pour le sauvetage des Juifs, et non pas à un quelconque plan de peuplement de la Palestine. Tous les représentants des différents pays participant à la conférence évoquèrent la possibilité d’accueillir des réfugiés sur leur territoire respectif, et ils se gardèrent bien d’exercer une quelconque pression (forcément vexatoire) sur l’Angleterre. “C’est alors que l’avis des sionistes sur cette conférence changea du tout au tout, écrit Beit-Tsvi, – la colère prit la place de l’enthousiasme et les espoirs se métamorphosèrent en déception. L’intervention du dirigeant du mouvement sioniste mondial, Chaïm Weitzman, fut remarquée : “Si la Conférence ne se met pas d’accord sur la résolution du problème des Juifs une bonne fois pour toutes au moyen de leur transfert en Eretz Israël- inutile de se fatiguer.” Immédiatement, toute la presse sioniste lança une campagne hystérique, écrivant: “nous sommes rejetés et personne ne nous réconforte: le monde a perdu toute conscience.” Mais les observateurs non sionistes étaient optimistes: la Conférence avait suscité l’espoir de voir tous les émigrants (juifs) potentiels admis dans les différents pays participants. Cet espoir était fondé, et c’est précisément la raison pour laquelle les sionistes s’ingénièrent de toutes leurs forces à le torpiller (avec succès). Beit-Tsvi cite la lettre d’un dirigeant sioniste, George Landauer à un de ses homologues, Stiven Weiz: “Ce que nous (sionistes) redoutons, par-dessus tout, c’est que la Conférence (d’Evian) n’incite les organisations juives à rassembler des fonds afin de financer la réinstallation des réfugiés juifs (dans les pays participants), ce qui obérerait gravement notre propre collecte de fonds destinés à nos propres objectifs”. Beit Tsvi résume les propos du chef des sionistes Haïm Weissman : “Pour (financer) la venue des réfugiés juifs dans d’autres pays, il faudra beaucoup d’argent, ce qui signifie que les finances sionistes seront ruinées. Si la Conférence est couronnée de succès (c’est-à-dire, si elle permet aux Juifs persécutés de s’enfuir de l’Allemagne nazie), elle portera un préjudice irrémédiable au sionisme. Ce qu’à Dieu ne plaise: que les pays participants à la Conférence (d’Evian) proclament leur générosité et qu’ils invitent les Juifs d’Allemagne à venir se réfugier sur leurs territoires respectifs, et c’en serait fini du projet (sioniste) en Palestine : (il y aurait un éparpillement) entre (une multitude) d’autres pays d’accueil, les Juifs ne (nous) donneraient pas d’argent, et les Anglais n’accorderaient pas l’autorisation d’immigrer en Palestine !” Source : arretsurinfo.ch Rappelons que les sionistes ont mis en avant l’importance de créer un état pour les juifs, mais qu’ils ont aussi créé ce peuple et menti sur son origine, son histoire, donc ils n’ont aucunes excuses et sont donc à 100% complice du génocide dont, il faut bien le dire, ils avaient aussi besoin pour faire accepter au monde, la création d’Israël. La collaboration des sionistes avec les nazis Est-ce que des agents sionistes ont aidé directement les nazis à exterminer des juifs ? Je vais me contenter ici de parler de Kastner, un agent sioniste qui avait été reconnu par des survivants des camps de la mort en Israël comme complice des nazis, il avait été arrêté et avait alors avoué qu’il n’avait fait qu’obéir aux ordres du mouvement sioniste comme tous les autres agents. Il avait ensuite été assassiné puis blanchi de toutes accusation, le mouvement sioniste en faisant même un héros national comme Théodore Herzl ! Jusqu’à peu, il était difficile de cerner le personnage, entre les informations donnés sur les « sites officiels » contrôlés par les organisations atlantico-sionistes comme Wikipedia et les accusations gravissimes de survivant de la Shoa rapportés sur quelques blogs. Mais depuis un livre très sérieux est sorti et des articles sur les sites d’informations juives en ont parlé : Kastner « De nouvelles recherches, basées sur des témoignages de survivants de l’Holocauste, suggèrent que Rezso Kastner (aussi connu sous le nom de Rudolph) a aidé le Troisième Reich à assassiner près d’un demi-million d’hommes, de femmes et d’enfants juifs. Jusqu’à présent, ce hongrois était considéré comme un héros qui aurait sauvé les Juifs des griffes de la Gestapo. On pensait qu’il les faisait passer clandestinement de Budapest vers le monde libre, suite à l’invasion allemande, à bord d’un train secret. Mais un expert sur Kastner, Paul Bogdanor, affirme qu’il a découvert de nouvelles preuves troublantes qui présentent une image très différente de l’homme. Il affirme que les témoignages nouvellement examinés, de survivants de l’Holocauste, suggèrent que Kastner a conclu un «horrible» marché avec l’officier SS Adolf Eichmann, pour livrer ses compatriotes juifs et les conduire à leur mort. Bogdanor dit qu’il peut prouver qu’il a seulement réussi à obtenir un accord lui permettant de sauver quelques uns de ses proches juifs et en échange d’aider Eichmann à déporter les Juifs Hongrie à Auschwitz, soit près de 800 000 Juifs . Seule une infime minorité de Juifs, soit quelques hommes, femmes et enfants, qui sont montés dans les trains nazis, se dirigeaient vers la liberté et la sécurité, comme il le leur avait promis. Les autres embarquaient pour un voyage à sens unique vers Auschwitz et les chambres à gaz. Les rumeurs et les accusations non étayées selon lesquelles Kastner aurait sacrifié la vie des Juifs ne sont pas nouvelles. Ces allégations ont déjà donné lieu à un procès controversé en Israël dans les années 1950. NDLR : Alors, en 1957, un premier procès a condamné Kastner pour « avoir vendu son âme au satan », puis il a été… tué à Tel Aviv, et une seconde instance, la cour suprême, a réhabilité le personnage. Un livre, du nom de « Procès Kastner », a paru alors et… a été interdit à la vente… Troublant, en effet… Mais c’est la première fois qu’on peut démontrer «sans aucun doute» son rôle dans le génocide et prouver qu’il a sciemment trahi son peuple. Bogdanor a découvert ce qu’il appelle cette «sinistre vérité » tout en faisant des recherches pour son nouveau livre, Kasztner’s Crime. « C’est la véritable histoire de la Liste de Schindler en sens inverse. Schindler était un nazi qui est devenu un héros. Kastner était un héros devenu un collaborateur nazi. « Kastner a toujours été une figure controversée, une minorité le qualifiant de collaborateur. Mais la plupart des gens ont cru qu’il avait fait ce qu’il pouvait pour sauver des vies dans une situation extrêmement difficile et sombre. « Cependant, plus je découvrais des preuves, plus je me suis rendu compte à ma grande surprise que les accusations portées contre lui étaient justes. Malheureusement, j’en suis sûr. » Kastner devint le leader de facto du Comité d’aide et de sauvetage de Budapest en 1942. Sous son leadership, le comité a prétendu avoir sauvé jusqu’à 25.000 Juifs qui auraient été passés secrètement en Hongrie, un pays sous contrôle nazi comme la Pologne. Sa réputation était telle que les nazis ont commencé à négocier avec lui qui était en tant que Juif, un contact juif clé, lorsque la Hongrie est passée sous tutelle allemande en mars 1944. Il a d’abord essayé de sauver ses frères Juifs en offrant de payer leur émigration. Mais quand il a reçu la preuve du plan nazi de massacrer la population juive du pays, Kastner – un « mégalomane impitoyable » – a négocié un pacte sinistre avec le cerveau de l’Holocauste Eichmann. Il a obtenu de mettre en sécurité une liste de 1 684 personnes, dont ses propres amis et sa famille proche, hors de la Hongrie. Mais les nouvelles preuves choquantes suggèrent que Kastner a seulement réussi à obtenir cet accord en échange d’aider Eichmann à envoyer le reste des Juifs de Hongrie, soit près de 800 000 Juifs, à Auschwitz. Eichmann et Kastner appelaient cela le «secret du sauvetage». Bogdanor, qui a passé dix années laborieuses à étudier le lien de Kastner avec les nazis, a découvert la terrible vérité après avoir examiné un certain nombre de témoignages sans équivoque – et jusqu’ici négligés – de survivants de l’Holocauste. Il a également examiné le rapport d’enquête d’après-guerre de Kastner et d’autres preuves documentées, dont une grande partie n’a jamais été traduite en anglais. Yosef Reiss, a témoigné comment Kastner, qui a été assassiné en 1957, a trompé la communauté juive de Kolozsvor, en lui faisant croire qu’ils seraient réinstallés et qu’ils seraient affectés à des travaux agricoles ailleurs dans le pays. Au lieu de cela, les 18 000 hommes, femmes et enfants du village ont été envoyés dans les chambres à gaz. Ce témoin, «totalement ignoré par les historiens jusqu’à présent », a déclaré: « Kastner était bien conscient que les jeunes voulaient s’échapper. Alors il a répandu le bruit parmi le peuple qu’ils ne devraient pas s’échapper et causer des problèmes à leurs familles, car ils allaient simplement tous être envoyés au sud de la Hongrie et que donc les familles resteraient ensemble et travailleraient dans l’agriculture. Un autre témoignage de Ruth Landau, la fille d’un survivant de l’Holocauste: « Comme beaucoup d’autres, ma mère a personnellement entendu Kastner, affirmer aux Juifs de sa ville natale, dans le ghetto de Kolozsvor, rassemblés sur la place avant d’être envoyés à Auschwitz, qu’ils allaient tout simplement travailler ailleurs à des travaux agricoles. » Ces témoignages sont renforcés par les propres aveux de Kasztner. Sous les ordres des nazis, par exemple, il a menti à ses compatriotes juifs en leur disant qu’une possible voie d’évasion par la Roumanie était impossible. En fait, l’itinéraire n’était pas bloqué et les Juifs qui l’ont utilisé ont survécu pour raconter l’histoire. Lors d’un témoignage de Kastner, qui n’avait jamais été écouté, ont l’entend dire: «[Un officier nazi] m’a demandé de dire à mes amis de Kolozsvar, que la garde à la frontière roumaine avait été renforcée | «J’ai donc dû dire à ceux qui voulaient s’enfuir en Roumanie d’être plus prudents et d’utiliser d’autres moyens d’évasion ». Les historiens estiment que 437 000 personnes, soit plus de la moitié de la population juive hongroise, ont été déportés vers les camps de la mort nazi. Bogdanor affirme que beaucoup d’entre eux ont été les victimes de la trahison de Kastner et de son pacte avec Eichmann, et il espère que les livres d’histoire seront maintenant réécrit pour rétablir la vérité. « Le souvenir des victimes et des survivants d’Auschwitz est insulté par la représentation constante de Kastner comme un héros alors qu’en réalité, c’est le dernier des traîtres de l’histoire de l’Holocauste à n’être pas considéré comme tel. C’est une grande injustice et la vérité doit être racontée. » Il faut voir la page Wikipedia qui est encore remplie de propagande sioniste le présentant comme un héros, il est même fort possible que les soit disant sionistes qu’il aurait sauvé, ne risquaient rien, quand on sais les liens forts qui ont existé dès le début entre le mouvement sioniste et les nazis, voir le documentaire sur le contrat de transfert ci-dessus. Ils parlent tout de même sur Wikipedia de comment, cet agent sioniste qui aurait du comparaître au procès de Nuremberg avec les autres accusés, y était pour défendre ses amis SS ! « Après la guerre, Becher est jugé à Nuremberg pour crimes de guerre. Kastner témoigne en sa faveur, déclarant que Becher est « taillé dans un bois différent de ceux des meurtriers de masse professionnels de la SS politique ». Au total, Kastner témoigne cinq fois, de 1946 à 1948, en faveur de Becher et d’autres SS impliqués dans les négociations sur le train et la rançon. Sa défense d’un officier SS met en colère la communauté juive hongroise. »Source : Wikipedia Il y a de nombreux autres histoires du même genre comme celle du rabbin Weismandel qui porte des accusations très graves contre le mouvement sioniste. Mais ces accusations sont noyés sous un flot de désinformation et considérés comme des inventions par le mouvement sioniste, exactement comme les accusations contre Kastner avant la sortie de ce livre. Le rabbin Weismandel qui avait réussi à s’échapper seul d’un train qui les envoyait lui et sa famille dans les camps de la mort, a perdu les siens mais ensuite il est entré dans la résistance et a fait tous ce qu’il pouvait pour sauver les autres juifs. Il affirme qu’il a contacté a plusieurs reprise le mouvement sioniste et les alliés pour faire bombarder les voies ferrés et les crématoriums, ce qui aurait pu sauver de nombreuses victimes, il leurs avait donné toutes les cartes et autres informations pour rendre l’opération facile, mais autant les américains que les sionistes, n’ont pas répondu à ses appels. Mais ses accusations vont bien plus loin, je vous invite à faire vos propres recherches sur ce véritable héros de la résistance juive contre le nazisme : le rabbin Weismandel Et voir par vous même la différence entre les informations données sur Wikipédia, les autres sites sionistes et celles données par des sites libres. La création de la haine envers les palestiniens D’après Ben Gourion et d’autres historiens, les palestiniens sont les descendants des hébreux (voir : Shlomo Sand – Comment le peuple juif fut inventé.pdf). Certains sionistes avaient même pensé les intégrer en les reconnaissant comme « aussi juif qu’eux ». Mais le problème c’est que les palestiniens, qu’ils soient juifs, chrétiens, athées ou musulmans, étaient unanimement contre cette invasion d’occidentaux, et donc le mouvement sioniste a du les diaboliser pour s’imposer et aussi et surtout déculpabiliser les nouveaux colons : « Un mufti bien utile… A l’école du village, on nous racontait aussi que « les Arabes qui vivent en Israël s’étaient alliés aux nazis et qu’il fallait les écraser, que Al-Husseini, le mufti de Jérusalem était leur leader, qu’il avait collaboré avec Hitler et appelé les Palestiniens à se joindre aux forces de l’Axe ». Nous ignorions alors – certains l’ignorent d’ailleurs toujours, ou feignent de l’ignorer – que cet Amin Al-Husseini avait quitté la Palestine en 1937 (Liban, Irak… et en Allemagne depuis 1941), qu’il était largement discrédité dans le monde arabe… et que son influence sur la population de son pays était plus que limitée. Preuve en est le faible résultat de ses exhortations auprès des nations arabes et de ses compatriotes : seuls 6 300 volontaires de divers pays arabes (Egypte, Arabie, Liban, Turquie…et Palestine) rejoignirent les organisations militaires nazies, tandis qu’ils furent 259 000, dont 9 000 Palestiniens, à rejoindre les forces alliées ! Que cet Al-Husseini ait été un personnage exécrable est incontestable mais de là à en faire le “chef“ des Palestiniens… Et lui consacrer plus de place au mémorial de Yad Vashem qu’à des Himmler ou Goebbels – l’espace qui lui est consacré dans “Encyclopedia of the Holocaust“ est seulement dépassé par celui concernant Hitler lui-même – serait risible si ce n’était clairement une manipulation visant à présenter les Palestiniens comme coresponsables du génocide hitlérien. » Source : Mémento 1 : « Le génocide n’est pas mon affaire » Car sans cette diabolisation des palestiniens, vrai descendant des hébreux d’après Ben Gourion même, il aurait été difficile de convaincre ces occidentaux de venir voler des terres, de faire exactement ce que les nazis leurs avaient fait en Europe, l’idée formidable d’Herzl : « J’ai eu une idée formidable : attirer des antisémites honnêtes et les inciter à détruire les propriétés juives. » Theodor Herzl, fondateur du sionisme européen sous la tutelle du révérend Blackstone Pourquoi le mouvement sioniste a besoin de l’antisémitisme Ce qu’il faut comprendre, c’est que contrairement à ce que croit un grand nombre de personne, le mouvement sioniste n’a jamais été créé pour protéger les juifs, mais pour les manipuler et créer un nouveau pays de mercenaire occidentaux en Palestine. Et ils se sont souvent appuyés sur les antisémites pour les aider à forcer les juifs au départ. Aujourd’hui, Israël existe, mais ils ont toujours besoin de nombreux colons car il y a de nombreux départ. Après l’assassinat d’Yitzhak Rabin, l’ancien premier ministre qui avait lancé une grande campagne pour réconcilier les juifs occidentaux et les palestiniens, un très grand nombre d’israéliens, comprenant que les dirigeants sionistes refuseront toujours de faire la paix avec les palestiniens, sont partis vivre au Canada. Il n’est ensuite pas surprenant d’apprendre par un rabbin canadien que des jeunes sionistes avaient été envoyé au Maroc en se faisant passer pour des islamistes, pour s’en prendre à la communauté juive afin de les inciter à rejoindre Israël. Quand des juifs dénoncent le sionisme comme créateurs d’antisémitisme. Il faut rappeler qu’au début de « l’affaire Dieudonné » il s’était lancé dans la critique du sionisme et qu’il était soutenu par de nombreux juifs. Mais il n’avait pas le droit de faire cela, a subit d’énorme pression avant de capituler et d’accepter de prendre le rôle de l’antisémite et toute la pression est alors tombée d’un coup ! À l’époque, sur Twitter, des juifs de France avaient réagis à la polémique de la quenelle montée de toute pièce par les sionistes : « En donnant à la quenelle une définition éhontée, la #LICRA fabrique de la haine dont les juifs sont aussi les victimes – JuifsInfos (@JuifsInfos) 4 Janvier 2014 Il est primordial que les juifs dénoncent les officines sionistes créatrice de haine, comme usurpatrices de l’identité juive – JuifsInfos (@JuifsInfos) 4 Janvier 2014 Les Juifs soutiennent la quenelle contre le sionisme qui viole l’identité juive http://t.co/MZ3k8246pLpic.twitter.com/5pHjwu9ebn – JuifsInfos (@JuifsInfos) 3 Janvier 2014 Ce n’est pas seulement le climat de terreur imposé par ces officines de haine qui nous dérange. Cela fait des années que le sionisme tente d’imposer par la force son point de vue à l’ensemble de la communauté juive. Ce qui est plus grave aujourd’hui, c’est que ces officines ont adopté une stratégie d’escalade, depuis ces dernières semaines, et qui renvoie une image de plus en plus négative des juifs de France, communauté pacifique dans son ensemble, qui recherche la sérénité et autant que possible le minimum de publicité. Pire, allant de concert avec un travail éhonté de la LICRA, qui a décidé d’antisémitiser un geste qui pourtant ne l’était pas depuis une décennie, favorise en un seul mois, un climat délétère et dangereux pourl’ensemble de la communauté. Ces officines projettent désormais d’aller plus loin encore dans une attitude fascisante et haineuse. Si rien n’est fait pour les arrêter dans la fabrication effective d’un climat antisémite, la tendance ne s’inversera plus. Pourtant, ces officines ne sont en aucun cas représentatives des juifs de France. Elles sont de plus détestées du peuple français dans sa très grande majorité (même s’ils préfèrent se taire). Il est primordial et urgent que les juifs de France fassent clairement entendre, d’une manière ou d’une autre, qu’ils ne sont aucunement associables à des « sionistes fanatiques », qui imposent les intérêts du sionisme plus qu’ils ne défendent l’intérêt des juifs de France. Bien au contraire. Une escalade de la menace sioniste en France est grave mais surtout extrêmement néfaste pour l’ensemble des juifs de France. La situation économique est catastrophique. S’il arrivait que la situation se détériore plus encore, comment voudriez-vous que les Français soient enclin par la suite à comprendre que tous les juifs ne sont pas des sionistes, alors qu’on n’entend (quasiment) qu’eux ? Tandis que les autres ne parviennent pas à se faire entendre, du fait de méthodes fascistes de la part des sionistes, dont l’attaque calomnieuse subie aujourd’hui n’est qu’une illustration parmi d’autres. Nous invitons non seulement les juifs de France à se désolidariser du fascisme sioniste qui dénature l’image de la communauté ; et invitons tout juif à urgemment participer d’une manière ou d’une autre, à faire valoir qu’il ne les cautionnent nullement. Il faut également cesser le chantage à l’antisémitisme dès qu’une opinion contradictoire apparaît, risquant de galvauder totalement la notion. Et commencer à songer à « dés-antisémitiser » les gestes et les hommes qui en sont abusivement victimes. Il faut cesser ce climat de répression de la pensée qui tend à semer de l’amertume dans le cœur de ceux, trop nombreux, qui la subissent (juifs compris). Ceux qui au contraire, n’entendent pas nos prières et font le jeu du sionisme exacerbé, en le cautionnant par leur silence, ou pire en y apportant un concours quelconque, seront les grands responsables de l’amalgame néfaste entre deux notions, que seuls les sionistes veulent faire s’épouser de force : judaïsme et sionisme. Nous inclinons chacun à agir afin de briser l’amalgame fabriqué par ces officines visant à faire déteindre l’image d’un sionisme fascisant et porteur de haine sur l’ensemble de la communauté juive, qui, a contrario, est demandeuse de paix et de sécurité. « Là où l’antisémitisme n’existe pas, le sionisme le fabrique » https://twitter.com/JuifsInfos Comment les sionistes manipulent les juifs Si vous avez lu jusqu’ici, vous avez compris le rôle du mouvement sioniste sur tous les malheurs qui sont arrivés aux juifs d’Europe. Mais la manipulation ne s’arrête pas là, les sionistes utilisent depuis la fin de la guerre les crimes dont ils sont complices pour faire chanter les pays européens et manipuler toute une partie de la population juive en les maintenant dans le traumatisme : 

Dès ses premiers pas sur terre un enfant juif se retrouve avec un énorme poids à porter.

Si il naît dans une famille sioniste, il sera élevé dans le traumatisme de la Shoa, dans la haine et la méfiance des non-juif, dans le communautarisme.

Maintenu dans un véritable ghetto psychologique, choqué par l’antisémitisme cultivé par les sionistes, il sera incité à de multiple reprise à servir sa communauté et deviendra un serviteur du mouvement sioniste, un nouvel esclave de ces puissantes familles US qui se prennent pour les nouveaux pharaons…

Conclusion

Tous ceux qui comme moi rêvent d’un monde débarrassé de l’antisémitisme doivent être conscient que tant que le mouvement sioniste aura besoin d’envoyer des colons en Israël, il y aura de l’antisémitisme.

Ceux qui ont créé ces nouveaux juifs ont aussi besoin d’eux à des postes clés, pour contrôler une partie de nos médias, nos politiciens, ou différents niveaux de la société, ce qui a donné naissance au mythe du « lobby juif qui contrôle le monde ».

Croyance cultivée par une grande partie de la population, antisémite ou non et même chez les familles juives comme on peut le voir dans le documentaire ci-dessus

Mais ce n’est pas un lobby juif, qui n’a jamais existé, mais bien un lobby d’extrême droite sioniste, qui agit avec un puissant lobby atlantiste et n’a jamais eu pour but de défendre les juifs, comme vous l’avez compris en lisant cet article, mais qui sert avant tout et toujours, la politique des puissantes familles qui contrôlent les États-Unis d’Amérique !

Ces mêmes familles qui ont créé le mouvement sioniste, puis Hitler, qui ont utilisé les nazis via IG Farben (lié à la famille Warburg US) pour leurs expériences médicales sur les prisonniers juifs, expériences qu’ils ont continué sur des enfants au USA pour ensuite, quand le scandale a éclaté, continuer sur les enfants séfarade en Israël :
Wikipedia : Affaire des enfants de la teigne

Contrairement à ce que les sionistes disent, les juifs ne seront jamais en sécurité en Israël ni nul par ailleurs dans le monde tant qu’ils ne se seront pas libérés du sionisme !

Les deux principaux mouvement qui menacent la sécurité des juifs dans le monde sont le sionisme et le wahhabisme et derrière ces mouvements, il y a les mêmes groupes, les mêmes intérêts :

Nous devons libérer nos frères juifs qui sont enfermés dès leur enfance dans un ghetto psychologique de peur, de haine des autres et d’envie de revanche par les sionistes .

Et les juifs qui souhaitent que leurs enfants puissent vivre en sécurité et pratiquer ou non leur religion partout dans le monde, doivent aussi dénoncer le sionisme.

Tous cela fait partie d’un projet de domination globale, élaboré très certainement au sein de société secrètes et ils utilisent aujourd’hui les mêmes ficelles pour manipuler une partie des musulmans et les entraîner dans leurs guerres avec l’aide de l’Arabie Saoudite.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                        Alfred Ledu ou NeoM  Vendredi 9 Mars 2018                                                                              https://www.alterinfo.net/Pourquoi-le-mouvement-sioniste-a-besoin-de-l-antisemitisme_a136924.html

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